
Troubles du comportement alimentaire
Pour réguler les troubles du comportement alimentaire, la Sophrologie va vous aider à y voir plus voir. Par exemple, sans chercher très loin dans les analyses de données, il apparait que maigrir est tout-à-fait possible mais plutôt à court-terme. Par contre, les tentatives de régime amaigrissant ne donnent pas plus de 15% de réussite à six mois et dans 40% des cas, les personnes retrouvent leur poids antérieur alors que dans 50% des cas, ils l’augmentent !
La Sophrologie pour lutter contre des troubles du comportement alimentaire dans la durée !
Et éventuellement perdre du poids ?
Avec la Sophrologie, je vous propose un plan d’action adapté à votre personnalité, à votre histoire, à votre sensibilité et qui évoluera pas à pas, en complément d’un accompagnement médical approprié et global si nécessaire.
A aucun moment, ces séances ne remplacent une consultation médicale, d’autant plus si vous souffrez d’un trouble du comportement alimentaire : boulimie, anorexie, compulsion alimentaire ou restriction cognitive à l’égard de l’alimentation. Car s’engager dans une démarche d’amaigrissement ou souffrir d’un trouble du comportement alimentaire n’est pas anodin pour la santé : perte de muscle, fragilisation des os (surtout après la ménopause), baisse du métabolisme de base, etc. et ne peut se faire sans un accompagnement médical sérieux. Par exemple, maigrir peut s’imposer pour soulager des douleurs articulaires, améliorer un diabète ou traiter l’hypertension… Sinon, mieux vaut chercher à stabiliser son poids, à ne pas grossir donc, ce qui reste malgré tout un premier pas conséquent.
Si tel est votre cas, le bon sens vous invite à ouvrir un chemin de bienveillance envers vous-même car il n’y a pas vraiment de justice à ce niveau-là : à consommation calorique égale, vous avez sûrement remarqué qu’une personne pèsera 5 ou 10 kg de plus ou moins qu’une autre… Par ailleurs, vouloir maigrir s’inscrit dans une foultitude d’intérêts parfois contradictoires liées aux critères esthétiques en vogue dans la société, aux critères statistiques de la santé publique (avec le calcul de l’Indice de Masse Corporel par exemple) et aux critères du goût, de la saveur et du confort personnel. Et inévitablement, les questions liées à l’estime de soi, à l’image de soi se posent comme en écho à ce désir de changer son comportement alimentaire. Et parfois, un stress peut apparaître, d’où le besoin d’apprendre à se relaxer !
La Sophrologie pour pacifier son rapport avec la nourriture !
Je vous propose de traverser au moins deux étapes cruciales qui sont, premièrement : l’acceptation de soi-même et l’acceptation de ce poids d’équilibre autour duquel nous oscillons toute notre vie. Et, deuxièmement, de retrouver confiance en son intuition alimentaire qui permet d’ajuster spontanément la consommation d’aliments à la dépense énergétique et de maintenir ce poids d’équilibre.
L’intuition alimentaire est perçue d’une manière plus ou moins vive selon les personnes. Elle est basée sur les sensations alimentaires : le plaisir gustatif, la sensation de faim et la sensation de satiété et reste perméable à toute difficulté psychologique qui se présente, tout manque de sommeil qui risquent de perturber cet équilibre instinctif.
Quelles places ont les émotions dans le fait de manger ?
Combien de fois une personne peut se laisser aller à manger d’une manière automatique pour refouler une colère ou sous l’effet d’un sentiment d’ennui ou de culpabilité ?
Au fil des séances, nous aborderons tous les aspects qui vous permettent de mettre en oeuvre un nouveau comportement alimentaire adapté à vos objectifs et qui vous permettra également d’anticiper les situations qui pourraient vous rendre vulnérables.
Entre deux séances ?
En complément de chaque séance en cabinet, je vous propose aussi des Elixirs des fleurs du bush Australien pour réguler votre vie émotionnelle et vous soutenir en-dehors des séances.